21h30 ! Tout beau ! Tout chaud ! [Pv]

[Sujet Privé. La personne se reconnaîtra ]

Mais Mélanie pourquoi tout le monde me regarde avec des gros yeux quand je te parleuuh ? C'est nul ! Dis toi, Kathlyne, qui si tu parle à voix haute, et bien, on pourrais se demander à qui tu parles ! Mais j’te parle à toi ! Oui, mais les autres ne me voient pas. Mais moi j te voie ! Mais pas les autres, ma chérie, ils te prennent … Comment dire… Pour une folle. Mais je ne suis pas folle ! J’ai … J’ai des hallucinations, même si je sais même pô ce que sa veux dire. Je sais très bien ma puce, mais si tu ne veux pas qu’ils te regardent comme sa, ne me aprle pas a voix haute, parle moi là comme sa. Non j’ai pas envie. Alors tu veux que les autres continue à te regarder comme sa ? Heu … Nan ! Alors, ne me parle pas à voix haute. Pfff, toi aussi tu es nule ! Toi aussi tu te retournes contre moi ! Déjà que j’arrive pas à m’intégrer dans cette académie de merde, il faudrait qu’en plus je ne te parle pas à voix haute ! J’fais c’que j’veux d’abord ! Je te boude Mélanie !

La demoiselle était allongé sur son lit depuis un bon moment, et elle s’ennuyait. Elle se mis par terre devant sa montage de peluche, en pris une, et lui tordit la tête X____x Jusqu’à que la tête fut séparé du corps ! Mouhahaha, la chadique ! Elle prit aussi une poupée de porcelaine. Elle lui fit des câlins, puis la pris par les pieds, et la cogna par tout *OUT* Son visage si fragile, se brisa. Elle sauta par-dessus, pour ne pas s’entailler ses pieds nus… Elle vacilla, et tomba sur les fesses. Pouaf qu’elle chance que j’ai.

Sa dispute avec sa folie intérieure ( Mélanie ) se passa quand elle montait dans les sentiers dans les environs de Vingt-et-une heure et demi du soir. Elle avait dans sa main, la patte de son panda. Une peluche. Elle ne l’avait dans sa main que dans sa chambre, ou quand elle était en dehors du lycée, seule. Elle savait que l’on la verra encore moins bien, si elle se traîne avec une panda en peluche. Mouarff c’est moche la vie.

Ses vêtements étaient dignes d’une poupée en porcelaine. Un robe gothique lolita, noire et blanche. Bouffante, avec plein de froufrou. Ses chaussures étaient des bottes en cuir noir, qui montaient jusqu’à ses genoux (en dessous) et les talons fessait 6 centimètre. Donc, elle mesurait 1m66 à ce moment là.

Elle marchait marchait, montait. Elle arriva à une sorte de clairière, deux trois papillons voletaient parmi les fleurs. L’herbe était courte. Elle s’assit par terre, les jambes en M, sa peluche entre ses cuisses. La tête penchée vers l’avant, sa franche lui cachait les yeux. Un air si fragile, triste et angélique, que vous en auriez presque envie de la câliner, comme elle le fait si souvent avec ses peluches.

[ Désolée ché court -___-' ]

La compation, la pitié, l'amour, l'amitié, la joie, la peine...Voici bien des sentiments que le jeune Minoru ne connaissait pas. Bien sûr il savait ce que cela voulait dire mais il ne l'avait jamais encore ressentit. C'était comme de savoir de quoi est fait un plat de cuisine mais de ne pas en connaitre le goût et la forme. On s'en doute un peu d'après ce que l'on sait mais tant que l'on n'a pas goûté on ne peut pas savoir ce que c'est.

Certes, Minoru ne se sentait pas le moins du monde désespéré de ne pas connaitre de telle chose car ces sentiments étaient bien vite ressentit et se transformaient également très vite en une douleur effroyable. Non...Jamais il serait proche de quelqu'un pour éprouver de telle choses. Il fallait déjà qu'il accepte la compagnie de quelqu'un, qu'il ne la trouve pas futile et qu'il veuille bien se montrer réellement.

Tant de choses impossibles qui font que jamais Minoru ne deviendra un être civilisé. Même ses parents avant leur morts respective disaient que Minoru allait être un hermite. En quelque sorte ce n'était pas faut. Le jeune homme était bien connut pour ne jamais parler sauf quand il y avait nécessité et pour rester toujours seule. Il y en avait bien qui s'approchaient de lui mais ils finissaient par être dégouté devant l'attitude si froide et neutre qu'adoptait quotidiennement Minoru.

En éternel solitaire, Minoru aimait à sa ballader seul de jour comme de nuit. Il n'était pas étonnant de le voir dans le parc, sur la plage ou encore dans des endroits bien moins fréquentable. Même si Minoru se montrait le jour il restait un oiseaux de nuit.
Ainsi, lorsque le soleil disparut pour laisser place à Madame la Lune, Minoru sortit de son hantre vêtu d'un jean assez large et troué aux genoux, d'un tee-shirt rouge et d'une veste kaki. Le bandeau qui couvrait son nez était blanc décoré de lianes en velour blanc.

Il était facile de deviner que cela faisait maintenant un an que Minoru était dans ce lycée. Le jeune homme connaissait tous les coins et recoins de l'établissement et de ses alentours.
C'est donc d'un pas sûr qu'il se dirigea vers les sentiers. C'était un endroit que le jeune japonais fréquentait régulièrement. Là,à sa demande se trouvait ce qui lui permettait de s'évader de ce monde qu'il trouvait si sombre et désolant pour un rejoindre un plus agréable.

Serrant de la main droite un paquet de billet dans la poche de son pantalon, Minoru était bien décidé à se procurer un peu de plaisir ce soir. Tête baissé il avançait en imaginant quel effet ça pourrait bien lui faire ce soir. Son pas était rapide mais pas assez pour qu'il rentre dans la jeune fille qui était assise par terre.

Un petit soupire échappa d'entre ses fines lèvres. Elle lui bloquait la route. Minoru était encore dans les bois et elle se trouvait sur son passage. Rebrousser chemin lui ferait louper son rendez-vous. Il était donc nécessaire pour le jeune homme de trouver un moyen de l'éviter sans pour autant parler. Après tout, il n'en voyait pas l'utilité.

La tête baissée vers elle, son regard froid et inexpressif posé sur elle, Minoru attendait que cette jeune fille qui ressemblait plus à une poupée, se lève pour le laisser passer.

Naïve et fragile. La drogue pour elle c’est … Quelque chose qu’elle a déjà pris sans savoir ce que c’était X_____x Mais wiii ! Ché des bonbons ! Bah non, la tu te trompe petite, c’est pas bien ! Montrez lui des pilules remplie de drogue, dites lui que c’est bon, aussi bon ! Voir mieux que les bonbons et elle en prendre. Elle s’est drogué plus d’une fois sans le savoir, mais aime ces « bonbons ». *OUT*

Ma chérie … Tais-toi. Kathlyne…. La ferme. Pryson ? Ta bouche ! Nini ? TA GUEULE ! Ma puce … QUOI ? Y a quelqu’un qui est devant toi, et qui apparemment attends que tu te pousses pour passer. Et alors ? Bah pousse-toi. Non. Quoi non ? Il peut me contourner, en sautant le petit fossé remplie d’eau, le longer deux mètres, et resaute par-dessus et il rejoint ce foutu sentier. Sauf que le fossé fait trois mètres de large. Et alors ? Pousse toi Kathlyne ! TA GUEULE ! Pryson, pousse-toi et on en parle plus. Je-ne-suis-pas-ta-pou-pée. Il peux très bien me demander de bouger et bah j’ai pas envie. Bouges. Chut. Recule toi. Tais-toi. Laisse-le passer. Non. Mais pourquoi ? Pour t’faire chier. Et sa marche. C’est bien, c’est ce que je cherche. Bouges. NON !

Cela fessait déjà une minute ( et des brouettes remplie de feuilles XD) que le jeune homme attendait que la demoiselle bouges pour le laisser passer.

En même temps elle se leva d’un bond ! X_____x Et elle se retourna brusquement Oô. Dos au jeune homme en quête de plaisir (on va chercher quoi hein ) Elle hurla :

« Ta gueule espèce de chienne ! »

Bouuuh j’ai peur ! Espèce de …. Il doit te prendre pour une folle. Comme tout l’monde. Oui … Un de plus, ou un de moins, qu’elle est la différence ? Après tout, j’étais seule, je suis seule, je resterai seule !

Kathlyne tourna sa tête vers le nippon. Son regard était injecté de sang. Des pieds de la tête, rapidement elle le détailla. Elle passa son visage, et s’arrêta sur ses yeux.
Il voulait passer non ? Alors qu’est qu’il attendait ? Alors, OUST ! Vas t-en ! Bouges ! Reste par la, comme un con ! Allez, va chercher tes sucreries qui te verra voir de milles et une couleur, et qui te verra voler au dessus du Sahara, mais bouges !

Son regard fessait bien comprendre au jeune homme, que soit il parle. Sois il passe. Mais qu’il reste pas là à mimer un piquet.

La folie était bien la dernière chose qui faisait peur à Minoru...Pour quel raison, il ne le savait pas très bien...C'était une des nombreuses choses qu'il avait à découvrir à son sujet...Tout comme la drogue. Depuis la fois où il s'était acheté de la dorgue il s'était posé cette question: pourquoi j'ai besoin de ça?! Beaucoup de choses se passaient autour de Minoru sans qu'elles aient une explication très rationnelle.

Et puis, qualifier quelqu'un de fou tout simplement parcequ'elle ne correspond pas à la "norme" établie, quelle chose stupide! Minoru n'était pas comme ces moutons, à obéir sans poser de questions. Malgré les apparences, Minoru était quelqu'un de très intelligent et à qui on ne faisait pas gober grand chose!

Il ne se serait donc jamais permit de qualifier la jeune fille en face de lui de folle tout simplement parcequ'elle avait crié dans le vide. Ca lui été arrivé à lui aussi de crier sans raison apparente dans le vide...Enfin, au début c'était sans raison, mais, au fil des années cette raison invisible prit la forme d'une petite voix interieure qui le rabaissait.

Avec le temps, Minoru apprit à ne pas l'écouter jsuqu'à ce qu'elle disparaisse complètement...Enfin, il ne l'entendait déjà plus et Minoru l'avait oublié. C'est donc en voyant cette jeune fille crier que ces souvenirs lui revinrent.
Son attitude changeait de tous ces pigeons. D'un côté Minoru était content mais, au fond il s'en foutait complètement. Qu'ets ce que ça pouvait lui faire qu'il y ait quelqu'un d'un peu original? De toute façon il ne lui adresserait la parole qu'une ou deux fois dans toute savie alors....

Lorsque elle se retourna, Minoru ne bougea pas d'un pouce. Fidèle à lui même son visage était aussi immobile que du marbre. Seul la petite lueur dans ses yeux le trahissait. Il semblait être une statue pour certain ou un vampire pour d'autres. Avec sa peau couleur d'albatre il en intimidait plus d'un mais pas elle. Tant mieux...Tant pis...

Ce regard que lui lanssait la jeune fille fut plus qu'explicite pour Minoru. Grand habitué des messages par regard, Minoru était étudiant à Pudget mais avant tout étudiant à plein temps des divers comportements humains. Ainsi, il ne lui fallut que quelques secondes pour contourner la jeune fille. Il l'aurait bien fait avant si seulement elle n'avait pas prit tout le chemin en étant assise par-terre.

Après l'avoir contourné, Minoru continua sa route sur quelques mètres pour finalement se retourner vers la jeune fille aux allures de poupées. Elle lui rappelait tellement ces jeunes filles aux visages enfantins et aux robes de poupées qui peuplaient les rues de sa ville natale...A bien y réfléchir, sa soeur était également une de ces Gothique Lolita....

Le lourd silence qui pesait dans ce petit sentier en pleine fôret fut brisé par la voix froide et rauque de Minoru.

Ne l'écoute plus si tu n'es pas en accord avec elle!

Sur ces simples mots, Minoru continua son chemin en quête de la source d'un plaisir passager...

Suis le … Pourquoi ? Il saura. Il sait quoi ? Te fournir ce que tu cherches… Je cherche quoi Mélanie ? La drogue… Je ne me suis jamais drogué tu entends !? Si … Non ! Et plus d’une fois… C’est vrai ? Oui … Vrai …Ment ? Oui, pourquoi te mentirais-je ? Car tu aurais certainement envie d’essayer. Tu sais … Quand tu as mangé ces « sucreries » que tu aimes…. Oui… Tu croyais que tu halluciné par toi-même … C’était la … Oui, c’était la drogue, depuis quand, les ours en peluches parlent ? Depuis toujours … NON ! C’est faux, c’est toi, ton imagination, moi qui les fait aprle,r mais un ours en peluche, c’est mort, ce n’est pas vivant, cela ne parle pas. Mais si. Non, puisque je te le dis. Mais alors … Oui, Kathlyne, tu es vraiment malade …

« Je ne suis pas malade … »

La demoiselle avait dit sa après que Minoru, ait commencé à marcher, Elle était resté dans la même position, avait jeter un regard haineux à l’arbre. Elle prononça ses quelques mots. Puis, s’avança et se pencha pour ramasser son panda en peluche taché de terre légèrement humide.
Laisse moi tranquille. Suis le. Il va en chercher, il t’en donnera si tu lui donnes la liasse que tu as dans ta poche. J’ai de l’argent sur moi ? Vérifie, sous ta robe, la poche que tu as cousu sur le jupon.
Kathlyne passa sa main sur sa robe, à l’endroit où se trouvait apparemment la poche « intérieure ». Mélanie avait raison.

Elle se retourna, posa son regard sur le dos du jeune nippon. Et là, il se retourna…
**Ne l'écoute plus si tu n'es pas en accord avec elle!**
Ne pas m’écouter ? Mais il se prend pour qui celui-là !? Je fais partie de toi Kathlyne ! Tu es OBLIGEE de m’écouter ! Je suis avec toi, je te guide, je t’aide, je suis ton amie ! Je suis ta sœur ! Lui ce n’est qu’un inconnu, tu n’as pas à l’écouter ! Chuuuuuut Mélanie, calmes-toi. Je vais le suivre, si tu as raison je t’écouterai, si tu as tord, je ne sais pas ce que je ferrai, mais n’ai pas peur, et tais-toi pour le moment.

Minoru reprit son chemin, Kathlyne lui suivit. Quatre mètres les séparaient, mais elle aprla assez fort pour qu’il l’entende.

« Elle me dit de te suivre … Que ce que tu vas chercher, c’est ce que je cherche … »

Kathlyne arriva à son niveau. Les bras pendant, sa peluche au bout des doigts, sa robe blanche voltigeaient, ses longs cheveux, lâchés dansaient au rythme du vent.
De son index elle montra la poche du jeune japonais.

« C’est de l’argent que tu as ? Alors … Elle avait raison ? »

Egoïsteet égoicentrique: voici la réputation qu'avait Minoru auprès de ses camarades de classe. Tous savaient que trop bien que le jeune nippon au visage d'ange avait une attitude détestable et pourtant...Cela n'empêchait pas que certaines personnes s'attachent à lui dans l'espoir de le faire changer ou d'être assez bien pour qu'il veuille leur adresser la parole.

Minoru se marrait bien devant l'attitude de ces pauvres abrutis! Ils n'avaient vraiment pas comprit que c'était justement eux qui ne méritaient pas qu'il leur parle. Avec leur prétention à deux balle alors qu'en réalité ils sont les plus vulnérables de tous à se montrer tel qu'ils sont et s'attacher trop vite ils ne sont que plus vite blessé...Vraiment pitoyable aux yeux de Minoru.

Pour lui, il fallait quelqu'un avec un caractère aussi fort que lui, avec des idées bien déterminées et qui n'accepte pas n'importe qui dans son entourage. En résumé quelqu'un comme lui. Cette personne il ne l'avait pas encore rencontrée. En 17 ans de vie il n'avait encore jamais rencontré quelqu'un comme ça...Que des petits chiens qui voulaient tirer un quelconque profit sur son dos....

A son grand regret c'était ce que voulait également la jeune fille qui le suivait. Ce genre de personne avait vraiment le don d'énerver Minoru mais il préféra rester calme, elle n'en vallait vraiment pas la peine! Il entendait ses pas à quelques mètres derrière lui mais ne broncha pas. Il l'écouta en silence.

Qu'est-ce qu'elle a celle là?! Pfff...Dans le genre chiant et colant....Elle peut toujours courir pour que je lui en passe!
Minoru était bien déterminé à garder pour lui la précieuse poudre blanche qui lui procurait un minimum de plaisir dans cette sombre vie!

Ainsi, lorsque elle arrivat à son niveau en continuant de parler de ce qu'il allait chercher et du blé qu'il avait dans sa poche, Minoru soupira longuement en levant les yeux au ciel. Il ne s'arrêta pas pour autant et de sa voix froide et rauque il lui dit d'un ton las.

Ne compte pas sur moi pour t'en filer!

[i]Minoru se foutait bien de passer pour un radin ou quelque chose d'autre! Il avait son argent à lui qu'il allait dépenser en drogue qu'il garderait pour lui! Point barre! Hors de question d'en filer à une petite fille qui avait tout d'une poupée en porcelaine qui le suivait comme un petit toutou!
Il espérait que ces quelques mots la dicuaderait à le laisser tranquille![/b]

Kathlyne s'arrêta.

Allez, continue persuade le. Non. Pourquoi non ? Il est méchant ... Et tu crois que moi je suis gentille ? Oui ... Non, Kathlyne, je ne suis pas gentille. Tu n'es pas méchante comme lui. Si. Mais ... Alors, laisse moi faire ; laisse moi prendre ta place, et comme sa tu n'éclatera pas en sanglots devant cet étudiant. Pourquoi veux-tu que je pleures !? Tu le fais tout le temps ; tu es si fragile qu'un rien de te brise ! ... Alors, tu me laisse faire ou pas ? Toi aussi tu es méchante avec moi. Et alors ? ... Bon alors, tu me laisses les rênes ? Si ... Si tu veux... Si je veux ? Bien sur que je veux, sinon pourquoi je te le demanderai ... Mélanie, tu n'es pas ausis horrible que sa, sinon tu aurais pris ma place, sans rien me demander, comme une pét****. La ferme. D'accord.

Mélanie redressa sa tête, et fronça les sourcils aux dirent du jeune homme.

"Nous en filer ?"

La demoiselle, leva les yeux au ciel et dit d'une voix trop différente à celle qu'elle avait employé au début, quand la Poupée n'était que Fragile.
La Poupée Sadique est de retour. La chienne c'est elle.

"Elle ne te demande pas de nous en donner. Elle te demande de la mettre en relation avec ton dealer ."

Mélanie ? Oui ? C'est quoi un dealer ? Tu ne sais pas ce qu'est un dealer ? Non. En plus de faire ton éducation sexuelle, il faut que je t'explique sa ! Oh, allez c'est quoi ? Un dealer, c'est une personne qui vent de la drogue. La drogue, les bonbons magiques ? Oui, Kathlyne. Haaan d'accord !

Son regard auparavant qui était haineux, ou doux et brillant quand Kathlyne avait posé son regard sur Minoru, était à présent vide d’expression, un regard gris, fixe.

L’étudiant, lui, avait bien pu comprendre qu’elle était atteindre de troubles de personnalité multiples, et qu’il n’avait plus affaires à la même personne qu’auparavant.

Que lui demandait-elle ? La mettre en relation avec le dealer. Il n’était pas question à ce qu’il lui file de la drogue gratis, ou qu’il lui en vende, non juste lui montrer le dealer, et hop.

[Hj: C'est très court, disoulée. Me rattraperai XD ]

~~ 21h30 ! Tout beau ! Tout chaud ! ~~ [Pv]

21h30 ! Tout beau ! Tout chaud ! [Pv]