Petite promenade

Voilà bien des journées étranges qui s'écoulaient petit à petit à Pudget School, des journées trop calme certainement, trop calme pour Muma en tout cas qui avait une très facheuse tendance à repenser inlassablement à son passer, à sa ville natal, ses anciens amis...Elle s'ennuyait fermement ici et pour cause, les gens étaient ennuyeux. Oh bien sur, il y avait cet étrange psychologue qui menait cette double vie de patron d'un club sordide qui se trouvait par delà les interdits. Muma y passait d'ailleurs très régulièrement, devenue certainement l'une des meilleures cliente au niveau des substances illicites. Cependant, elle n'était pas particulièrement friande des plaisirs de la chaire s'offrait à elle...Son passé l'ayant quelque peu "dégoutté" de ce gens de plaisir même si, dans le font, la miss se sentant irrémédiablement attirée par ce psychologue. Pourquoi ? Sans raison particulièrement à vrai dire, il avait quelque chose d'attirant, peut-être cette double vie qu'il menait...

C'est par ennuie que la miss était sortie des lieux même si théoriquement, elle avait diverse rendez vous chez les diverse médecins et psychologue de la Pudget, jusqu'ici, elle les avait tous éviter...Comment ? En s'enfuyant pour la journée...Bien éidemment, la miss se retrouvait très vite dans le bureau de la direction mais c'était pas réellement un problème pour elle, tout entrait par une oreille pour ressortir de l'autre côté, rien ne semblait la perturbé, qu'on la renvoye, c'était encore ce qu'elle cherchait de mieux...N'ayant pas le pouvoir de quitter les lieux par elle-même, son tuteur ( qui est son avocat par la même occasion ) souhaitait beaucoup trop que la demoiselle retrouve simplement le droit chemin...Y avait-il seulement un chemin droit ?

Ce concepte de droit chemin, Muma y croyait que très peu, à ses yeux...Elle n'avait aucun droit d'être droite, aucun droit d'avoir une vie normal, elle avait gacher la vie de son père, avait tuer sa propre mère ( du moins, c'était ainsi qu'elle réfléchissait ) et aujourd'hui, à défaut de ne pas pouvoir se suicider tout simplement, elle détruisait sa vie simplement.
La raison pour laquelle elle devait allez voir un quelconque medecin de la Pudget ? Elle était simple, la jeune fille avait une cicatrice dans son dos, cette cicatrice était encore très jeune, quatre mois seulement qu'elle était là. Elle devait être suivit médicalement, surtout que Muma ne possedait plus qu'un seul rein et là encore, on devait surveiller si cet unique rein qui lui restait travaillait convenablement et pouvait subvenir au corps de la jeune adolescente...

Mais pour des raisons personnelle, elle n'allait voir aucun médecin, elle ne les aimait pas réellement...A ses yeux, ils avaient été un des facteurs qui l'avait empêcher de mourir et aujourd'hui, elle leur en voulait, tout comme elle en voulait à Kyuzuke d'avoir appellez la police pour la sauvée, tout comme elle en voulait à tous ses gens d'être justement...Des gens...
Chacun d'eux méritaient de mourir, l'être humain n'avait aucun droit de vivre car chacun d'eux, était des monstres...Cette terre n'aurait jamais du appartenir à la race humaine et c'est pour ses raisons que Muma était une demoiselle détestable, pour ses raisons que la jeune fille descendait dans une pente très dangereuse.

Aujourd'hui, la miss c'était habillé d'une robe gothic lolita assez simple, une robe entièrement blanche, allez savoir pourquoi...Ses temps ci le blanc semblait être une couleur que la demoiselle portait assez souvent. Trainant derrière elle une peluche pendant à ses mains tout simplement, elle avait un sourire sur ses lèvres. C'était le genre de sourire qui ne faisait pas naître la confiance, bien au contraire, les yeux rivé droit devant elle, un regard assez absent, elle semblait plutôt...Effrayante...Comme d'habitude à vrai dire.

Elle se promenait simplement sur les rails, face à une gare abandonnée, chantonnant une des diverses chansons que leur groupe avait écrite, son regard dans le vide, ce sourire étrange sur les lèvres.

" laissez moi hurler dans ma tombe
je n'aurait jamais su rien avoir
tout ce que j'ai entrepris gronde
ma vie est déchiquetée par tout mes ennemis
dont seuls peuvent le savoir ...

je serait mort dans les hurlements et la douleur
je demande a dieu de me rendre la vengeance
que mes larmes ne crient pas sans esperance
ma derniere priere sous les pleurs ..
ma derniere larme de sang dans leur coeur "

( Ouvert à tous
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La demoiselle, d’humeur dansante, d’humeur massacrante, avait envie de sautiller, à son gré, loin des regards des gens, loin des élèves, loin du personnel. Folle, pleine de folie, non, juste elle-même. Sautillant, tel une sauterelle, sautillant, et de temps en temps s’arrêtant pour regarder le ciel, cette volupté bleu, sentir la caresse du vent sur son visage. Elle avait aussi envie de sentir des doigts sur sa peau si blanche, des doigts qui serrait lui procuré l’envie de crier, d’hurler, dans la nuit… Un cri qui ne serait pas déchirant, ni horrifiant, mais d’envie, de plaisir, de désir qui se ferait ressentir, dans ce cri. Tel un animal sauvage, dans une drôle de Tenue [ Ici ] avec un regard suave qui se portait sur des gens. Se tenant avec grâce et sautant avec agilité, la petite fille, se laisser aller, à son envie, a son gré, vers les rails. Ne connaissant l’endroit du moins du monde, elle partait pour une nouvelle aventure. Ses chaussures, écrasaient des brindilles, crac crac, les brindilles qui craquent sous ses chaussures. Boum. C’est elle qui tombe, sur les fesses, pas terre, sonné. Encore une nouvelle fois, encore un nouveau bleu ( peut-être ) à se rajouté à une belle collection.
Sa nouvelle aventure, la menait tout droit dans son passé, qu’elle ne tentait d’oublié. Se racheté ? Pourquoi faire ? Oublier ? Pourquoi faire ? Se taire ? Pourquoi faire ? Vivre, le jour le jour, sans se soucier du lendemain, voilà ce qu’elle ferra. Tout droit dans son passé, tout droit dans une ancienne hallucination.
Arrivé au niveau des rails, elle sautait, sautait, encore, et encore. Tel une petite fille, qui venait de retrouver l’usage de ses jambes. Son jupon noir moulait ses fesses. Et le tissu, transparent par dessus voltigeait, suivait le rythme de ses sauts. C’était vraiment fou, de sauter avec de hauts talons. Mais quand on s’appelle Kathlyne Pryson, on peut se permettre cette folie. Ses chaussures, plus hautes, les unes que les autres, elle en était habitué, elle sautait, courrait, dansaient, tuait, criait, pleurait, hurlait, chantait, créait, conversait, avec !
Sa petite taille, son visage d’ange, lui donnait un air si fragile ! Et quand elle portait une robe bouffante, elle avait l’air d’une poupée de porcelaine, si fragile, une brise d’air, la poussait, et elle tomberait, se briserait pour tout jamais ? Jamais ! Jamais ne dire jamais !

Parmi les graviers, la demoiselle sautillait, dansait une valse, avec son éternelle compagne ! Je nomme !!!! DOUDOU !! XD [ Hum, hum *OUT*] Un petit panda, noir et blanc [ Ouuuuuué ] tout doux, tout beau, qu’elle trimbalait partout ! [ Bien chûr !] Prise de mélancolie, elle dansait souvent avec. Mais là, elle le fessait par … Envie !

Un être dansant, qui n’était pas maquillé [ Pour une fois ! ] dansait. Soudainement, elle s’arrêta brusquement, non loin de Muma. Elle entendait cette voix. Son cœur commença à s’emballer.

« Mu … Muma ? »

Elle se retourna, et commença à marcher, traînant son panda, derrière elle, tenant sa peluche d’une main, qui était derrière elle, voltigeant. Elle déboula devant la jeune nippone.

« Muma ? C’est … C’est bien toi ? »

Elle n’avait pas besoin de cette réponse. Kathlyne l’avait déjà reconnue. Cette si jolie demoiselle, si belle, si forte, si … mauvaise. Elle l’admirait, elle … l’aimait ?

Jamais, jamais Muma n’aurait penser une seule seconde que son passé la frapperait ainsi de plein fouet et si elle avait eu un quelconque indice que ce passé viendrait la hanté aussi bien physiquement qu’il ne le faisait déjà mentalement, jamais elle ne serait venue ici ou alors…Elle aurait tout simplement pas évité le train qui passait à cet instant précis, posé juste à côté. Les deux jeunes filles se faisaient toute les deux faces alors que la force d’air du train faisait voltiger leur cheveux et relevé leur peluche respective. Muma possédait un lapin, à la vu de celui-ci, il était très facile de voir qu’il datait de plusieurs longues, très longues années. Oui…Cette peluche avait exactement six ans derrière elle. Six ans de douloureux souvenir que tout deux avaient enduré. La raison pour laquelle Muma la trimballait avec elle ? C’était qu’elle avait cette impression que cet animal fait de tissus et de mousse la protégeait des autres. Regardant dans les yeux cette fillette qu’elle avait connu il y a très longtemps…Enfin…Quelque mois seulement. Pryson…Ses yeux fixaient ce corps de poupée…Toute les deux avaient cette image de poupée et pourtant, toute les deux étaient très différente…
La tête de Muma se baissa doucement, le vent lui piquant les yeux et ses cheveux lâcher et mal coiffé se mire devant son visage, ne cachant que la partie supérieur de ce visage, ses lèvres inexpressive et son nez était encore visage alors que ses yeux aux paupières closes était à présent indécelable derrière sa frange de cheveux.
Des souvenirs attaquaient doucement son cœur, cette hôpital et ces murs blancs, elle se souvenait aussi très facilement de cette jeune fille à côté de son lit qui ne cessait de parler de ces gens qu’elle voyait et Muma qui admirait cette folie qui menait Kathlyne dans un autre monde, un monde où les problèmes ne semblaient que très peu l’affectée et plus elle l’enviait plus elle la détestait. A plusieurs reprise des infirmières avaient du intervenir car à plusieurs reprise Muma c’était amusée à torturée cette jeune fille. En avait-elle encore les marques ? Muma ne souhaitait pas réellement savoir mais maintenant qu’elle s’en souvenait, les lèvres visible de la jeune fille se arquait dans un sourire très peu rassurant. Ses mains se relevant doucement vers sa poitrine, serrant le lapin en peluche avant qu’un rire se fit entendre. Le genre de rire assez inquiétant qui ne présageait vraiment rien de bon…

« Kathlyne… »

Et à l’instant où Muma fit un pas en avant, le train était passé, le lapin chutant lourdement sur le sol alors que les mains que de Muma venait violemment se posé sur les épaules de la gothic lolita, poussant cette poupée contre le sol. Cela avait la une scène très enfantine, elle n’avait fait que poussé Kathlyne contre le sol…Son rire retentissant une nouvelle fois.

Détruire…Faire du mal…Voilà pourquoi elle avait été créer…C’était son père qui le lui avait dit et si sa mère était morte aujourd’hui, c’est parce que justement, elle était fait pour détruire…Faire du mal…

« Kath…Lyne… »

Une voix lente, une voix très lente d’ailleurs, ses lèvres bougeant à peine tel un ventriloque, elle releva la tête, ses yeux à découvert et ses paupières ouverte, ses iris se plongeant sur la poupée…

« Le monstre est de retour dans ta vie…Petite poupée…Le monstre…Va un jour…Te…Cro…quer… »

La Petite Poupée portait des marques. Plusieurs cicatrices aux hanches. Elle avait pris sa pour un jeu. Cette folie, son monde qu’elle s’était créer, était à la fois bien, et mal. Mal, elle ne voyait le danger nulle part, elle n’en voulait pas à Muma, elle ne pourrait jamais lui en vouloir. Elle est faite que pour aimer … Et détruire. Elles ressemblent à des poupées…
Le train passa, les cheveux roux de la demoiselle voltigèrent. Elle avait les jambes serrées, Les mains tenant son panda, qui pendait devant elle. Son visage légèrement baissé. Une poupée de porcelaine, rien d’autre. Ni plus, ni moins. Une poupée sexy, aujourd'hui. Une poupée qui voulait des sucreries ( la drogue ) et qui voulait sentir des doigts sur sa peau. Rien de catholique, rien de bien, que du mal.

Elles étaient face à face, immobilent, se rapellant de moments passer ensemble dans cette chambre d'hopital. Elle parlait, avec Mélanie, et Muma, en avait marre, lui dit de se taire. Et la, elles discutèrent, Titlyne lui expliqua qu'elle parlait avec sa seule et meilleure amie, Mélanie, sa folie. Sa si jolie folie. Muma l'enviait, Kathlyne enviait Muma pour être si forte, et de ne pas baisser les bras.

La Petite Poupée Sexy, sentit, les mains du Monstre se mettre sur ses épaules, la poussé en arrière. Muma était à califourchon sur elle, son visage à quelques centimètres du sien. Kathlyne eut un frisson ( de joie ? de peur ? ) quand elle entendit la voix si froide de la demoiselle.

"Poupée elle a pas fait d'bêtise. Monstre ne peut que la croquer que si Poupée fais des bisous à Gentil Monstre... Tu as oublié ?"

Elle ne voyait le mal, nul part. Elle prenait sa pour un jeu. Et son futur, elle deviendra presque comme sa "jumelle" porcelaine. Deux poupées, deux respirations chaudes.
Le regard de la demoiselle était plongé dans les yeux de Muma.

Son regard était toujours planté dans le sien. Ses lèvres s'entrouvrirent, elle passa sa langue sur ses lèvres pour les humidifier. Puis elle dit d'une voix douce, et innocente :

"Tu m'as manqué Muma."

Oui, tu m’as manqué.

Pendant une semaine Kathlyne croyait que Muma était resté avec elle, après son départ. 1 semaine ou il s’est passé de drôle de chose. Comme le fait que la fausse-Muma est fait croire à Titlyne que l’infirmière qui entrait voulait la tuer. De ce fait, elle commença à l’étrangler, jusqu’au qu’on l’assomme de tranquillisant. Et quand elle se réveilla, Pouf, Muma n’était plus là. Elle ne pleura pas, mais fut mélancolique un bon moment, elle ne mangea pas pendant une semaine. Elle ne dormait pas, fixant la porte, et dès qu’elle s’ouvrait, ses yeux brillaient. Mais elle poussait un petit ralle de plainte, comme un animal sauvage blessé.
Facilement manipulable. Et tenait d’une façon étrange à la jeune nippone.

« Muma … »

Qu’elle la détestait, elle la détestait autant qu’elle l’aimait, allez savoir pourquoi…Elle était l’unique jeune fille a avoir réveiller une infime humanité en Muma…Et ce, sans que Muma soit droguée…Peut-être parce que cette fille l’avait connue à l’instant où elle était encore un peu elle-même…Cette instant où elle avait faillit perdre la vie sur le carrelage froide de sa cuisine.
Elle ne savait pas comment, ni pourquoi, mais à peine déjà revus et elle se retrouvait déjà à califourchon sur cette poupée…Sa poupée ! Allez savoir pourquoi, Muma aimait la manipulée, elle savait pertinemment qu’elle possedait la vie de cette adolescente entre ses doigts et pour des raisons purement personnel, elle en profitait et torturait parfois ouvertement la demoiselle, mais les raisons, seul Muma les connaissait.

Ses doigts doucement passaient sur les lèvres couleur sang de la poupée, caressant cette peau si douce, cette fille était si…Attirante…Ces allures innocentes et cette beauté fragile…De la porcelaine que Muma mourrait terriblement d’envie de brisé contre le sol. Et ses doigts glissaient doucement et sensuellement vers la nuque de la miss alors que doucement ses yeux fixaient les siens à l’instant où la demoiselle se mit à parler.

Kathlyne ne semblait pas avoir peur de Muma, elle semblait toujours en parfaite confiance comme si elle savait pertinemment que Muma ne lui ferait jamais de mal hors, Muma lui en avait déjà fait et elle en possédait d’ailleurs encore les traces…Son sourire sadique restant sur ses lèvres.

« Je…N’oublie…Jamais ! »

Elle avait réellement insister sur le jamais, car oui, il fallait savoir que Muma oubliait très peu de chose

Lui avait-elle réellement manquée ? Muma avait du mal à croire que sa présence pouvait réellement manquer à des personnes ? Comment une fille comme Muma pouvait-elle manquée ?
Muma se releva doucement, attrapant la poupée dans ses bras et l’emmenant au beau milieu des rails…

Un sourire sadique sur ses lèvres, tout le même, le perpétuelle sourire sadique, Sa main tenait celle de la demoiselle et elle la faisait diriger plus loin sur les rails, pour que Muma puisse récupéré Usagi, sa peluche à elle.

« Je vais partir…Sans toi… »

Gardant sa main dans la sienne.

Elle l’emmenait simplement dans la gare abandonné, passant par une des fenêtres cassés elle plaqua Kathlyne contre un mur et appuya lourdement sur ses épaules pour qu’elle se mettre assise sur le sol, Muma s’asseya en face d’elle. Elle sortie alors de sa peluche ( qui avait une fermeture éclaire ) une seringue et un flacon…Celui-ci contenant l’un de ses produits magique que Muma utilisait rarement, ceux qui s’injectait était vraiment plus fort et plus dangereux et Muma n’était pas encore inconsciente à ce point…Mais le fait de revoir son passer comme aujourd’hui, était vraiment trop difficile à gérer pour la petite Muma qui avait besoin de sa dose.
Relevant la manche de sa propre robe, elle injecta du produit dans la seringue et perca l’une de ses veines pour laisser le poison se mélanger à son sang. Se laissant glisser dans les méandres de la drogue, le tous, sous les yeux de sa poupée…

« Petite…Poupée… »

« Gentil Monstre … Fait pas dodo … »

….

La demoiselle c’était laissé faire. Quand le Monstre passa par la fenêtre brisée, Kathlyne fit de même en prenant mille et une précaution pour ne pas déchirer, abîmé, ses vêtements. Un morceau de verre glissa sur son poignet, sur le côté. Du sang y coula, pas beaucoup, mais assez pour que des picotements lui prennent cet endroit.

Le demanda sentit les mains de Muma contre ses épaules, y appuyant dessus pour qu’elle s’assoie par terre. Elle se laissa glisser le long du mur froid, et atterrit sur ses fesses. Elle ramena ses genoux, ses jambes contre elle, contre sa poitrine. Ses bras entourèrent ses jambes, et elle posa sa joue contre ses bras. La tête penchée sur le côté droit, elle observait la nippone.
Elle la regardait. Kathlyne se sentit toute drôle, comme si elle devenait spectatrice d’elle même, de cette scène. Comme si elle quittait son corps.
Mélanie, ce n’est pas le moment ! J’ai envie de la sauter. Pardon ? Oui … N’importe quoi toi ! En plus elle se drogue !

Poupée glissa sa main dans son jupo prit une petit pilule qu’elle glissa dans sa bouche… Elle l’avala avec un peu d’eau ( elle avait un petit flacon d’eau, très petit dans la poche de son jupon, qu’elle avait cousu elle-même) Elle laissa aller sa tête en arrière, et attendit que cela fasse effet.
Kathlyne … Oui ? Laisse-moi … Faire quoi ? Jouer … Devenir moi ? Oui, tout a fait … Si tu veux …

Kathlyne, se redressa, et s’avança vers Muma. Elle posa ses mains sur ses épaules, et y appuya pour qu’elle s’allonge.
**Petite … Poupée …**
Mélanie sourit, et posa ses doigts contre la joue de la japonaise.

« Gentil … Monstre … Laisses … Moi fai … re. »

Kathlyne et Mélanie avait la tête qui tournait assez, mais elles connaissaient cette sensation si agréable. Elles lâchèrent un soupire d’extase à l’unisson.
Mélanie se mis à califourchon sur Muma…

« Mu… Ma … »

La main droite de Kathlyne, ordonné par Mélanie, descendit sur la hanche du Monstre, glissa. Et glissa sur sa hanche en remontant, sous son jupon long. Elle se pencha, vers son visage, … Ses cheveux brillant de milles feux, tombèrent un à un au-dessus de sa première victime depuis qu’elle était arrivée à Pudget School…

« Mé … La … Nie … »

Ses lèvres se posèrent contre celle de la demoiselle. Un sombre baiser. Un baiser sauvage … Remplie de désir …

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